Ahti • si j'étais un oiseau, j'irais danser sous l'orage.

trigger warnings : Mention d'abus • Violence infantile • Mention de décès. prénom : Ahti. Dieu des mers et de la pêche. Dieu nordique qui n'a rien à voir avec la couleur de ta peau, les teintes de tes cheveux. Enfant loin d'être du Nord, tu as pris ce nom jeune, volé au Dieu que tu remercies chaque jour pour l'emprunt, prénom qui donnerait presque des ailes, qui colle à la peau comme le sel de mer. genre : Hésitation pendant des années, l'Homme prenant le pas sur la Femme, cette dernière revenant à la charge à la manière d'une Valkyrie, puis l'aveu. Parfois Homme, parfois hésitant, pronoms masculins, pronoms neutre, le plaisir se trouve dans le mélange des deux. âge : Trente deux Hiver de présence. Longue existence que celle qui te lie à l'Univers mais ça va, le sourire reste aux lèvres. date et lieu de naissance : Né le 9 Février, fils d'Hiver, enfant né sous la douceur de la neige, sous l'ivresse du froid, enfant né non loin des lacs gelés au Royaume-Uni. adresse : 42, Chemin des Ecumes BR0429 Brambles métier/occupation : Employé du musée. Guide chaotique qui aime parler des œuvres, des origines. Qui aime conseiller le planétarium, les boutiques du coin. Bavardise incessante, flot d'informations qui se perdent en échos dans les couloirs, qui font sourire les visiteurs, qui peuvent ennuyer les collègues. Passionné qui aime partager. Peintre aussi à ses heures perdues, amoureux de l'horizon qui découle chez toi en une multitude de tableaux. statut familial : Enfant unique, aussi bien de caractère que de famille, pas d'adelphes, quelques cousins que le vent à parsemé sur le globe, des parents aimants. Seul et imaginatif, des chimères de frère aîné parti vivre à l'autre bout du Monde, chimères qui ne resteront que ça, des contes que l'on souffle aux autres, que l'on se souffle à soi pour lutter contre l'absence. statut civil : Marié à la mer. Amant de l'écume et amoureux transi du bruit des vagues venant se briser contre le sable. Cœur prit par trop de choses, par trop d'idées et de pensées, incapable de se poser, d'aimer convenablement, n'est convenable que la pulsion du jour, que l'envie folle de peindre encore et toujours. Patience à celui ou celle qui saura t'aimer, qui saura supporter le tourbillon qui parle plus que ce qu'il ne réfléchit. Tsunami que tu es, incapable d'aimer comme il le faudrait. Célibat qui ferait gronder plus d'un, célibat qui te va si bien. peur(s) : Peur de ne plus voir, peur de ne plus pouvoir se repérer. Peur d'un enfant à qui l'on a voulu apprendre à grandir sans attendre. Peur profonde de l'absence de lumière, nyctophobie présente depuis tes 8 ans, qui se présente sous la forme de sons saccadés, l'audition rend l'âme, l'esprit imagine des chuchotis, des présences qui ne sont que des chimères inventées par ton esprit. Pas réellement d'autres peur, incapable de réfléchir avant de faire les choses, impulsif de la vie, impulsif comme une vague lancée. plaisir coupable : Tant de choses. Trop peut-être. La sensation de la pluie sur la peau, la mélodie offerte par les oiseaux au petit matin. Ce même carré de chocolat qui fond sur la langue chaque Dimanche. Le bruit du pinceau qui tape délicatement contre le verre d'eau. Son sourire quand tu vas la voir, quand tu fais mine de ne jamais te souvenir de ce qu'elle te dit juste pour le plaisir de l'entendre t'en parler à chaque fois. Marcher au bord de l'eau, la sensation du crayon contre le grain épais de tes feuilles. Trop de plaisirs pour que tous soient coupables d'une quelconque manière. Plaisirs simples, plus simples que toi, plus simple que l'Ouragan que tu sembles devenir un peu plus chaque jour.

sur l'île depuis... Peut-être un an, ou deux ? Temps qui semble figé dans ces lieux aux teintes de Paradis. Il aurait aimé être ici. C'est pour ça que tu n'en partiras jamais, car ici, il repose à jamais entre les branches, dans la brise qui caresse tes cheveux certains jours. Ici, vous avez su vous retrouver, partir ensemble comme vous aviez su vous le promettre lorsque Jeunesse était encore là. Âme errante au milieu des œuvres. Brouillon ne trouvant sa place nul part au milieu de ces pièces de maîtres aux tons froids, tout lui semble mort, lui-même lui semble parti, absent. Il n'existe plus sans lui, il était le Soleil, celui qui brillait si fort, il était ce qui permettait à l'Art de briller. Chuchotis autour, voix qui se mélangent, qui s'emmêlent, qui deviennent un amalgame de pensées parasites venant se repaître de lui, de ce qui fait du brouillon encore une chose palpable. Fuir, se sauver, trouver une sortie à cette sensation collante. Au détour d'un couloir, un tableau. Il accroche le regard, il accroche l'âme. Brouillon qui se perd là, face à ce Paradis qui semble dessiné pour lui, personne ne passe, le lieu lui est réservé. L'île des echos semble inviter, capter son attention. Petit brouillon veut devenir œuvre là-bas, il veut lui aussi trouver son paradis en ces lieux qu'il sait réel sans même en être sûr. Il trouve l'Amiral, à moins que ce ne soit l'inverse. Le brouillon n'a rien fait de plus que de suivre les décors peints par le tableau. Lorsque son nom est demandé, il ne réfléchit pas, il offre le prénom de celui qui aurait dû être là avec lui. L'artiste vivra ainsi au travers du brouillon, sa mémoire peinte sur des galets perdus au bord de l'eau, son nom chuchoté en écho. son coin préféré de brambles ? Si la plage est la réponse logique, par amour de l'eau, de l'étendue salée qui semble s'étendre à ne plus pouvoir, l'île en elle-même est un lieu préféré. Que ce soit le lac, les champs, sera ton lieu celui qui arrive à faire briller ton regard, celui qui, lorsque tu le regarde te donne l'impression de ne pas être seul, qu'il est là avec toi, que vous avez pu partir ensemble, comme promis. sa dernière commande de produits venant de l'extérieur ? De l'aquarelle, du papier à gros grains, cette marque spécifique de chocolat noir et c'est tout. Pas demandeur, habitué au simple, l'envie de demander à l'Amiral de le ramener auprès de toi, mais à quoi bon demander une chimère ? Il ne viendra pas, l'Amiral n'est nul Dieu, il ne peut ramener personne. Alors parfois tu as cette demande, au moins une fois par mois, des recharges de films pour son vieux Polaroïd. sa célébration préférée? L'envolée des mouettes. Aucune idée de pourquoi, de comment. Cette fête résonne, sait calmer le tsunami d'émotions qui font de toi un être humain entier, ce moment de Septembre sait t'apaiser, te tirer un sourire presque enfantin, tu aimes tirer les portraits de ceux et celles qui viennent se perdre également sur la plage pour profiter de cette fête également, eux se perdent dans l'envol, toi dans la manière dont les visages laissent voir cet apaisement commun, cette sensation qui semble être partagée par tout le monde, comme si vous n'étiez qu'un seul organisme. Les autres fêtes sont aimées aussi, surtout en sa compagnie, elle à le don de rendre les jours moins long, les fêtes plus belles. ce qu'il pense de l'amiral... Des portraits de l'homme doivent traîner dans le carnet. Certains sont tirés comme il faut, d'autres ne sont encore que des croquis. Etrange de se dire que l'on doit tout à un homme que l'on ne connaît nullement. Mystère qu'est l'amiral, mystère qui en restera un, homme apprécié, respecté, homme qui, comme tout le monde sur cette île, à sa part de secret. Le sien à un simple goût salé.

keywords : Océan et sel marin | Mélange sans queue ni tête | Impulsion soudaine | Enfance éternelle | Sucre et douceur | Tempête et Ouragan | Deux, mais toujours seul | Bougie, étoile, qu'importe tant que la lumière brille | Croquis, tableau, tout pour se souvenir | Couleurs, toujours, à jamais | Son sourire semblable à la lueur d'un phare.

pseudo/prénom : Fjaer, Maël de mon prénom ! pronoms : Le neutre est ce qui me défini le mieux ! âge : J'ai 25 ans, la 26ème année arrivant en Automne. fuseau horaire : GMT+1 si je dis pas de conneries. fréquence de rp : Un bon 7/10 je dirais ? couleur dialogues : Changeante je crois bien. avatar : Avan Jogia crédits : Image • Claude Monet, Les nymphéas | Citation • Philippe Plisson. | Moodboard • Pinterest | Icône profil • Salem, les aventures de Sabrina.le mot de la fin : Amour et douceur sur vous.